Alex hernandez, un acteur maudit du jeu vidéo

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Les choses à retenir :
– alex hernandez a une carrière marquée par des échecs dans le jeu vidéo
– mafia iii et mindseye sont considérés comme des flops critiques
– hernandez ressent une pression liée à son image sur les jaquettes de jeux
– il partage ses pensées sur la culture toxique en ligne autour des jeux vidéo
– son soutien familial l’aide à surmonter sa déception

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Après Mafia III et MindsEye, Alex Hernandez exprime un certain dégoût envers l’univers du jeu vidéo. Cet acteur fait partie de ceux dont le parcours dans cette industrie ne se déroule pas sans embûches. Bien que sa performance en tant qu’acteur n’ait jamais été remise en question, il est reconnu pour avoir incarné Lincoln Clay dans Mafia III et Jacob Diaz dans MindsEye. Cependant, ces deux rôles lui ont valu des critiques mitigées : le premier étant souvent considéré comme le vilain petit canard de sa série, tandis que l’autre s’est distingué comme l’un des plus grands flops de 2025.

Lors d’un podcast sur la chaîne FRVR, Hernandez a révélé son état d’esprit face à cette situation : « Je ne suis pas superstitieux, mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir une sorte de spider-sense qui s’est activé. Est-ce que ça vient de moi ? Là où certains transforment en or tout ce qu’ils touchent, est-ce qu’avec moi, ça se transforme en merde ? Je ne travaillerais peut-être plus jamais sur un jeu vidéo. » Il souligne les difficultés liées à être reconnu grâce à son visage sur la jaquette d’un jeu ; cela entraîne inévitablement des associations entre ses performances et les réactions négatives ou positives du public.

Après avoir traversé cette période difficile pendant deux jours, Hernandez a pu compter sur le soutien inconditionnel de sa femme pour avancer. « Les joueurs sont une espèce unique… où l’attachement à l’expérience et au produit peut être très fort », affirme-t-il. Il mentionne également la nature anonyme d’Internet qui permet aux gens d’exprimer des opinions sans retenue : « Ils ne te regarderont jamais droit dans les yeux en disant que tous ceux qui ont travaillé sur ce jeu méritent de crever. » Tout en comprenant ce besoin d’expression du public, il reste conscient du poids que cela peut faire peser sur les artistes. Et si on parle aujourd’hui de la malédiction du « Jamais 2 sans 3 », seul l’avenir pourra nous dire ce qu’il adviendra pour lui. Bon courage à cet artiste face aux aléas du monde vidéoludique !