Warner ne changera pas d’avis sur les GAAS malgré l’échec de Suicide Squad

Les choses à retenir :
1. Warner Bros continuera à privilégier les jeux à service (GAAS)
2. La déception commerciale de Suicide Squad ne changera pas cette stratégie
3. Le studio pourrait se tourner vers le F2P ou le mobile pour certains projets
4. Une nouvelle stratégie se met en place, avec des effets attendus fin 2025 et au-delà
5. Malgré tout, Warner Bros Games continuera de produire des jeux solo, comme Hogwarts Legacy


Le flop de Suicide Squad au box-office n’a visiblement pas suffi à faire plier la Warner Bros. Et pour cause, la firme hollywoodienne semble plus que jamais déterminée à poursuivre dans sa lancée des jeux en tant que service (GAAS). Alors que certains pourraient voir dans ce choix une obstination digne d’un âne bâté, il semblerait que la Warner ait bel et bien fait son calcul. Après tout, pourquoi changer une équipe qui perd quand on peut persévérer dans l’échec ? On pourrait presque parler d’une forme de résilience à toute épreuve de la part du studio.

Certes, les fans de DC Comics pourraient s’arracher les cheveux en découvrant cette nouvelle stratégie. Mais soyons honnêtes, est-ce vraiment si surprenant venant d’une industrie où le succès et l’échec se côtoient comme Tom and Jerry ? Après tout, on ne peut pas toujours gagner au casino et parfois nous devons nous résoudre à miser gros sur des projets qui semblent condamnés dès le départ. C’est un peu comme jouer à la roulette russe avec un pistolet chargé de balles en argent : soit on touche le jackpot, soit on finit avec une balle entre les deux yeux.

Warner ne changera pas d'avis sur les GAAS malgré l'échec de Suicide Squad
Alors certes, Suicide Squad n’a pas été le coup de poker gagnant espéré par la Warner. Mais qui sait ce que l’avenir réserve ? Peut-être qu’un jour ils trouveront enfin leur carte maîtresse et réussiront à redorer leur blason auprès des fans déçus. En attendant, il semblerait que le GAAS ait encore de beaux jours devant lui chez Warner Bros., quitte à faire grincer quelques dents du côté des puristes du cinéma super-héroïque. Qui vivra verra !

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